14 déc Comment savoir quand arrêter de gonfler

Généralement, dans le culturisme, les gens sont garés dans l'un des deux camps, le camp perma bulk ou perma lean. Ni l'un ni l'autre n'est optimal, mais de manière réaliste, il y a un moment où ceux d'entre nous dans le camp de perma en vrac doivent réduire leur consommation de calories, même si le «déchiquetage» n'est pas l'objectif, car la croissance musculaire par rapport au gain de graisse peut devenir négligeable si nous pousser trop haut.

Donc, cet article s'adresse essentiellement à ceux qui prennent du volume depuis longtemps ou qui ont atteint un stade de leur volume où ils ont du mal à voir la croissance relative des tissus et cherchent à voir quand ils devraient se retirer.

Mais j'écris aussi ceci pour moi-même, car je suis maintenant au stade de mon volume où les calories sont élevées et difficiles à atteindre, le poids de la balance stagne et mon état en souffre, alors j'ai recherché quand et pourquoi faire une pause de régime et comment le faire pour relancer la croissance avec de succès.

Donc, juste pour donner un peu de contexte ici, dans ma situation, j'ai pris du volume pendant peut-être 2 ans et demi pour revenir à l'entraînement, puis j'ai suivi un régime cet été et j'ai perdu 10 kg, puis j'ai pris du volume depuis mai jusqu'à présent avec une petite pause de 3 semaines avant d'aller au Mexique. au début d'octobre, et j'ai ensuite poussé à nouveau.

Je suis en hausse de 11 kg par rapport à mon poids le bas cette année et au lourd, je n'ai jamais pesé un peu moins de 96 kg, mais mon état a commencé à se détériorer. Ce que je veux dire par là, c'est que je constate encore des gains de force dans la salle de sport, mes performances sont plutôt bonnes, mais quand je me regarde dans le miroir, ce n’est tout simplement pas joli. Maintenant, cela fait partie du processus. Nous, simples mortels, ne pouvons pas nous promener avec 5% de graisse corporelle toute l’année, ce n’est tout simplement pas viable, même si nous sommes sur les équipements.

Ce que j’ai découvert, c’est qu’au fur et à mesure que mon poids augmentait, la forme et le taux global de croissance diminuaient alors même que mes calories augmentaient de en . Ma coupe s'est terminée à 2600 cals, ce qui est encore assez élevé, mais ensuite j'ai commencé à gonfler et à revenir sur mes cals BMR, puis chaque fois que mon poids a calé, j'ai augmenté de 250 cals, maintenant je suis à 4600 ce qui est honnênt juste un ballache pour entrer et mon poids cale à nouveau. Je devrais donc pousser jusqu'à 5 000 cals par jour, ce qui est faisable, mais encore un ballache. Cependant, le simple volume calorique n'est pas une raison pour s'arrêter. Pourquoi j'envisage d'arrêter est dû aux rendements décroissants du gain de tissu musculaire par rapport au gain de graisse et je vais en expliquer maintenant.

Essentiellement, nos corps sont optimaux pour gagner du tissu musculaire à des niveaux de graisse corporelle inférieurs, l'idéal étant de l'ordre de 10 à 15%. C'est à ce moment que notre graisse sous-cutanée est faible, que la production naturelle de testostérone et d'hormone de croissance est la élevée et que les œstrogènes sont faibles. Lorsque la graisse corporelle dépasse 20% et c'est probablement à peu près où je suis maintenant, cela commence à varier cependant.

Production d'hormone de croissance à un pourcentage de graisse corporelle élevé

Production naturelle de testostérone à la graisse corporelle élevée% s

Avec l'augmentation de la graisse corporelle, nous constatons une réduction des niveaux d'hormones naturelles qui sont complices de la croissance des tissus musculaires et des niveaux élevés de cortisol qui sont cataboliques. Ainsi, il est difficile de gagner du tissu musculaire lorsque vous êtes trop gros.

Parallèlement à cela, si vous êtes trop gros et que vous injectez une tonne de calories provenant de sources de glucides comme principale source d'énergie, vous souffrirez également d'une sensibilité à l'insuline réduite, c'est pourquoi nous obtenons des rendements décroissants du taux de poids corporel. gain car l'absorption est compromise et peu importe à quel point nous poussons des calories, nous ne l'utilisons efficacement pour construire des tissus de bonne qualité, nous grossissons simplement.

Sensibilité à l'insuline à différents% de graisse corporelle

C'est le moment où nous devons envisager de faire une pause dans le gonflement.

Maintenant, devons-nous devenir maigres comme de la merde? Non. Avons-nous besoin de devenir légèrement maigre, oui. Doit-on entrer en déficit calorique? Pas vraiment, à moins que nous cherchions à devenir très maigres.

Essentiellement, ce que je vais faire maintenant, c'est réduire les calories au niveau d'entretien. Ceci, associé à un entraînement de haute intensité et à une teneur élevée en protéines dans le régime, entraînera naturellement une légère baisse du poids corporel, mais pas de manière agressive, au point de perdre du tissu musculaire. Ce que nous ferons cependant, c’est subir une recomposition dans laquelle nous allons égratigner une partie de ce tissu sous-cutané, mais aussi effectuer une «réinitialisation» efficace sur la BMR et la sensibilité à l’insuline.

Ce faisant, je me pencherai un peu, je reviendrai dans la fourchette dans laquelle je veux être, puis je rendrai mon corps un peu réceptif aux calories afin que je puisse pousser à nouveau efficacement quand il sera temps de grandir davantage.

Ce n'est pas une coupure, c'est juste une petite réinitialisation et quelque chose que je vous recommande d'examiner si vous avez gonflé pendant un certain temps, ne voyez pas les choses comme vous le souhaitez, mais aussi ne voulez pas vraiment couper comme vous ' re heureux avec de taille.

Alors voilà les gars, juste un petit aperçu de quand arrêter de gonfler et pourquoi nous devrions le faire pendant une période si nous devenons trop riches en graisse corporelle. J'espère que cet article a été informatif, laissez-moi aussi savoir ce que vous en pensez!

Les références

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7593428

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10780952

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3725490/